La Sophrologie

La SOPHROLOGIE

SOPHROLOGIE et DOULEURS

La sophrologie accompagne la personne à tous les âges de sa vie, de l’enfant à l’adulte. Méthode évolutive et dynamique, elle est composée d’exercices utilisant la respiration, la relaxation et la visualisation. Méthode simple, naturelle, la sophrologie favorise l’équilibre mental et physique et le développement harmonieux de la personnalité. Elle s’adapte à la demande, au rythme, aux besoins de la personne.

Elle se veut du domaine préventif dans la gestion des réactions au stress, la gestion mentale, l’affirmation et l’estime de soi, la recherche d’un mieux-être, la préparation aux changements. Elle se veut du domaine thérapeutique dans le traitement des troubles psychosomatiques, de l’anxiété, des troubles du sommeil, de la douleur, du comportement alimentaire, des dépendances. Elle se veut enfin pédagogique dans le développement de l’attention et de la concentration, de la mémoire, dans l’aide à la préparation aux examens et entretiens, à l’amélioration des relations et dans le développement de la créativité.

Les étapes successives de la méthode

Apprendre à respirer :

Grâce à la respiration, les muscles sont oxygénés en profondeur et une réelle détente musculaire s'installe

Apprendre à repérer et à chasser les tensions :

Petit à petit, l'apprentissage permet de se détendre, relâcher les tensions, se reposer : le soulagement, la détente ponctuelle ressentis pendant la séance sont mémorisés par le corps

Dynamiser le positif :

« tout ce qui est bon, tout ce qui fait du bien »

Grâce à des images positives, des sensations positives de bien-être s’installent progressivement dans le corps. Là encore l’entraînement va petit à petit augmenter les bonnes sensations ; les sensations de bien-être commencent à « repousser » les sensations de douleur

Apprendre à mieux connaître son corps :

Des mouvements simples, accompagnés de la respiration permettent de redécouvrir le corps, les mouvements, les sensations. Au début, nous hésitons : nous avons mal ou peur d’avoir mal, mais avec l’entraînement, toujours en douceur, nous retrouvons progressivement de la souplesse dans les mouvements ; nous prenons de nouveau plaisir à bouger et reprenons petit à petit certaines activités

Apprendre à prendre soin de soi :

C’est ainsi que, pas après pas, on découvre ou on redécouvre l’intérêt de prendre soin de soi. Ce n’est pas de l’égoïsme, c’est un moment pour soi très important : pour nous permettre d’être à l’écoute de notre corps, de nos limites, de nos désirs. En apprenant à respecter nos limites, à dire parfois « Non, je ne peux pas ! », sans nous culpabiliser et sans craindre le regard des autre, nous participons à la diminution de nos douleurs

Apprendre l’harmonie physique et mentale :

A cette étape, nous nous tournons plus facilement vers l’extérieur, vers les autres et nous reprenons une vie familiale et sociale plaine d’intérêt, de joie. Nous avons appris à voir le positif qui nous entoure, qui était autour de nous mais que nous ne pouvions plus voir, accaparés que nous étions par notre douleur, nos douleurs. Nous pouvons à nouveau prendre plaisir à diverses activités et, si la douleur n’a pas disparu, elle a beaucoup diminué en intensité et nous pouvons envisager de reprendre des activités adaptées à nos aptitudes, à notre état physique.

C’est ainsi que nous sommes parvenus à développer une véritable harmonie physique et mentale, indissociable l’une de l’autre, pour nous approcher du mieux-être, puis du bien-être et finalement de l’être tout simplement, c’est-à-dire :

« Vivre ici et maintenant, de mieux en mieux »

sans être constamment dans l’attente de demain et d’une hypothétique pilule miracle qui nous permettra de vivre.

Renseignements, tarifs et inscription auprès de sophrologues sensibilisées à la prise en charge de patients fibromyalgiques et douloureux chroniques en Loire Atlantique :

Secteur Nantes Beaujoire :

Ø Christine DROUET-BELLEIL – Association « Phren » 06.81.95.75.32

Secteur Sud Loire – Vertou

Ø Christine DROUET-BELLEIL – Association « Phren » 06.81.95.75.32

Secteur Saint Nazaire :

Ø Ghislaine MELLERIN – Association « Sézame » 02.40.82.83.25

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Région Rhône-Alpes

            Marine THIEULIN
              1 place d'Ainay
                      69002 LYON
                  04.78.42.70.43 ~ Mobile : 06.85.02.30.30
                  Email : marine.thieulin@free.fr

Activités en cabinet libéral : Relation d'aide thérapeutique - Sophrologie Caycédienne - Hypnose Ericksonienne

Activités en entreprise : Coaching - Formation - Analyse des pratiques professionnelles - Accompagnement individuel et des collectifs de travail dans leur organisation

Méthode simple, naturelle, à la portée de tous,
la sophrologie favorise l'équilibre mental et physique
et le développement harmonieux de la personnalité.

La sophrologie accompagne la personne à tous les âges de sa vie,
de l'enfant à l'adulte.

Méthode évolutive et dynamique, elle est composée d'exercices utilisant la respiration, la relaxation, et la visualisation. La sophrologie s'adapte à :

Ø votre demande

Ø votre rythme

Ø vos besoins

Mes domaines d'intervention :

· Préventif :

Ø gestion des réactions au stress

Ø gestion mentale

Ø affirmation et estime de soi

Ø recherche d'un mieux-être

Ø préparation aux changements

· Thérapeutique :

Ø troubles psychosomatiques

Ø anxiété

Ø troubles du sommeil

Ø traitement de la douleur

Ø troubles du comportement alimentaire

Ø dépendances

· Pédagogique :

Ø attention, concentration

Ø mémoire

Ø préparation aux examens et aux entretiens

Ø amélioration des relations

Ø développement de la créativité

Toute reproduction totale ou partielle est interdite sans l’accord des auteurs, Mesdames Marine THIEULIN, Christine DROUET-BELLEIL
Organisme éditeur, autorisé par les auteurs : A.M.D.C.F. 44 – 16 rue Hermann GEIGER – 44300 – NANTES ~ Site : http://amdcf44.free.fr

Témoignages

[25 janvier 2003...]

Témoignage n° 1

Un article dans la presse locale m'a informée, il y a environ deux ans et demi, qu'il existait sur Nantes une association pour les malades douloureux chroniques (l'AMDCF). Je suis allée à une première réunion d'information et j'ai d'abord été surprise de constater que ces problèmes de douleurs concernaient principalement des femmes, mais surtout de très jeunes personnes, adolescents ou enfants.

Avant j'avais l'impression que, les fibromyalgiques, nous étions des "laissés-pour-compte", considérés comme des malades imaginaires, des simulateurs. De voir tous ces gens qui souffraient, je me suis dit que, peut-être, nous pourrions obtenir réellement un "statut" de malade.

Car c'est une vraie difficulté d'avoir une maladie "qui ne se voit pas", même si l'entourage proche sait, il ne se rend pas toujours compte de notre souffrance.

Et puis, pour soi aussi, il est difficile d'accepter de "ne pas pouvoir faire certaines activités" et d'être obligée de "se reposer".

Quand j'ai commencé la sophrologie, cela m'a d'abord fait du bien de rencontrer des personnes qui, enfin, pouvaient comprendre ce que je ressentais. Puis très vite, j'ai pris conscience que je ne devais pas tout attendre de la médecine classique, qu'il fallait que je participe activement, si ce n'est à ma guérison, au moins à une amélioration de mon état de santé.

J'ai constaté à quel point mon corps était "bloqué de partout" et que je ne savais pas "respirer". L'apprentissage d'une vraie respiration a été difficile. Je n'arrivais pas à expirer complètement afin d'extérioriser tout le négatif que j'avais en moi. J'en avais tant concentré pendant ces années. Lorsque j'ai réussi à maîtriser une respiration profonde, cela m'a libérée d'un fardeau.

J'ai appris à prendre le temps de m'allonger, d'être à l'écoute de mon corps. J'ai constaté qu'il y avait de l'énergie en moi et que je pouvais l'activer.

J'ai pris l'habitude de me relaxer presque quotidiennement en passant en revue toutes les parties de mon corps et d'arriver ainsi à atténuer les tensions, parfois à les supprimer.

J'ai également appris à repérer les mauvaises postures que je prenais et à les rectifier le plus souvent possible par une bonne position. Je commence à avoir des automatismes... descendre les épaules, desserrer les mains, etc...

Je dirais en résumé que j'ai appris à m'aimer.

Mais la sophrologie reste pour moi un soin "actif". Il faut de la motivation et du courage pour la pratiquer régulièrement. Et tous ces petits moments de bien-être que l'on peut se procurer aident beaucoup à améliorer le quotidien.

Je dois dire bien évidemment que la rencontre avec notre sophrologue m'a été aussi très précieuse. Elle possède l'écoute, la patience, la simplicité et le mot juste. Sa compréhension a été bien souvent réconfortante, ainsi que de se retrouver chaque semaine en "très petit" groupe.

Je crois que la sophrologie est arrivée dans ma vie à un moment où j'étais prête à l'accueillir.

Témoignage n°2

Je fais de la sophrologie depuis deux ans. C'est un moment privilégié. Je pensais que je savais me détendre, ce n'était pas vraiment le cas.

La sophrologie est pour moi un voyage intérieur. Elle m'apporte le calme, la tranquillité profonde, au bord du sommeil, presque hors du temps. Elle m'apprend à positiver, à mieux ressentir les choses ou les ressentir d'une façon différente.

C'est une relaxation profonde pour le mental et le corps. On va lâcher prise, ce qui me permeet peu à peu de ne plus être autant dans le mal-être et la souffrance, de retrouver plus de confiance en moi et j'espère plus de compréhension pour les autres.

Témoignage n°3

Atteinte de polyarthrite rhumatoïde depuis de nombreuses années, j'ai eu la chance de connaître la sophrologie il y a deux ans. Depuis, je participe régulièrement à ces séances qui me permettent de mieux appréhender la maladie.

Cette technique de relaxation me donne la possibilité de mieux gérer la douleur.

Je retrouve également une détente morale très bénéfique qui a considérablement amélioré mon endormissement.

J'en suis très satisfaite.

Témoignage n°4

Je suis fibromyalgique et je ne supporte aucun traitement anti-douleurs.

Depuis deux ans et demi que je pratique la sophrologie, ma vie s'est doucement métamorphosée : je pratique un peu de vélo, je reprends goût aux baignades en mer, je fais à nouveau de la couture, je peux voyager en voiture sans crainte d'être "vidée" à l'arrivée pendant plusieurs heures.

Les douleurs ne sont pas parties, mais elles ne sont plus mon seul horizon.

Je vois à nouveau l'avenir avec confiance.

"LA VIE EST BELLE"